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Blog aubelois de Jean-Louis Xhonneux - Page 109

  • Reconnaissance du Pays du Bocage sans Frontières comme parc paysager

    Le Pays du Bocage sans Frontières est la région frontalière où se rejoignent les qualités paysagères exceptionnelles de la région des Fourons, du Pays de Herve et du Pays des Collines (‘Heuvelland’) hollandais. Ce patchwork vallonné d'éléments bocagers linéaires (tels que les haies, les alignements d'arbres et les talus boisés), de vergers hautes tiges, de vieilles forêts, de cours d’eaux rapides et de nombreuses reliques patrimoniales, est un véritable joyau paysager.

    Avec une soixantaine d'autorités et d'organisations flamandes, wallonnes et néerlandaises, la coalition territoriale a soumis au gouvernement flamand, fin mai, une candidature en tant que parc paysager transfrontalier. Aujourd'hui, nous sommes ravis que le gouvernement flamand soutienne la coopération structurelle au niveau du paysage à travers les frontières de la Flandre, de la Wallonie et des Pays-Bas. Le parc paysager Pays du Bocage sans Frontières couvre une superficie de 33 471 ha et comprend le territoire de sept communes : la commune des Fourons, les communes de Dalhem, Aubel et Plombières en Wallonie et les communes d'Eijsden-Margraten, Gulpen-Wittem et Vaals aux Pays-Bas.

    Le parc paysager transfrontalier a pour objectif de servir de catalyseur pour protéger l'unicité territoriale et les valeurs élevées du paysage tout en travaillant avec les organisations partenaires et les parties prenantes locales pour trouver des solutions aux défis urgents auxquels il est confronté. Il suffit de penser à la détérioration des éléments typiques du paysage, aux inondations et aux sécheresses de plus en plus fréquentes, à la disparition d'espèces végétales et animales uniques, à l'avenir incertain des exploitations agricoles familiales, à la pression créée de temps en temps par des activités récréatives et touristiques, ...

    À partir du 1er janvier 2024, un Bureau du Parc commencera à travailler pour soutenir volontairement les propriétaires fonciers locaux, les utilisateurs, les habitants et les entrepreneurs qui ont à cœur le paysage et la région. Avec les nombreuses organisations partenaires, nous mettons également en œuvre l'ambitieux plan d'action que nous avons élaboré ensemble. De cette manière, nous rendrons "les lignes qui nous relient" - le paysage bocager et les relations sociales - encore plus fortes et plus résistantes pour l’avenir.

  • Décès de Monsieur Michel FLECHET, époux de Madame Nadine VERSTRAETE

    Capture-d’écran-2023-10-13-200-17.04.21.gifLa famille annonce le décès de Monsieur Michel FLECHET, époux de Madame Nadine VERSTRAETE, né à Eupen le 9 mars 1952 et décédé à Aubel le 12 octobre 2023.

     

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  • Des félicitations du capitaine

    Capture-d’écran-2023-10-13-TT-10.44.31.gifUn article de BRUNO SMETS dans L'AVENIR - LE JOUR VERVIERS du 13 octobre 2023.

  • Freddy Lejeune a trouvé un repreneur pour sa boucherie

    Capture-d’écran-2023-10-13-A-10.34.48.gifUn article de PIERRE LEJEUNE dans L'AVENIR - LE JOUR VERVIERS du 13 octobre 2023.

  • LES SENIORS ONT DE PLUS EN PLUS DE MAL À PAYER LEUR MAISON DE REPOS

    La précarité peut survenir à tous les âges. Il semble que de plus en plus de personnes ont du mal à payer leur maison de repos en région verviétoise. Et elles ne sont pas toujours là où on les attend.

    Quand la santé se dégrade et que l’autonomie diminue, pas le choix, il faut aller en maison de repos couler des jours paisibles. Sauf que si l’on a une petite pension, les jours ne sont pas aussi paisibles que ça. Beaucoup ont du mal à assumer tous les frais liés à leur nouveau logis. Ce lundi à Aubel, la présidente du CPAS a fait remarquer qu’il y avait deux fois plus de demandes d’Aubelois à ce sujet que précédemment. Une situation qui interpelle surtout qu’Aubel est plutôt réputée comme étant une commune riche. Ailleurs la situation est relativement similaire. Le problème quel estil ? Dernièrement le prix des tarifs de certaines maisons de repos a sensiblement augmenté.

    Ce n’est pas forcément de gaieté de cœur. Le coût de la vie a augmenté, les frais de nourriture, d’énergie et le personnel a augmenté. En plus des différentes indexations, les travailleurs ont parfois eu des revalorisations salariales via l’IFIC, qui classe les fonctions. Or, les différentes indemnisations des gouvernements n’ont pas forcément suivi. Les responsables des maisons de repos n’ont pas 150 choix, ils ne peuvent que demander une plus grande part à leurs résidents. Sauf que les pensions ne suivent pas forcément non plus. « Souvent c’est bien fait, on recalcule la pension en fonction du niveau de dépendance, mais parfois ça ne suit pas toujours », peste Céline Denoël­-Hubin, d’Aubel.

    C’est très interpellant parce qu’on constate qu’il y a un public précarisé qui ne l’était pas auparavant. « J’ai peur pour les dames qui vivent seules avec un enfant et qui arrivent à la pension alors qu’il est parfois encore aux études et sans être propriétaire. On trouve un public au CPAS qui n’existait pas avant », conclut Céline Denoël­Hubin.

    D'un article d'ADRIEN RENKIN, Journaliste, dans LA MEUSE VERVIERS du 13 octobre 2023.