Les temps sont durs pour à peu près tout le monde mais quand on est brasseur, la période devient de plus en plus compliquée. Amputés des restaurants et des bars, les fûts peinent à trouver preneur. Ils arrivent tout doucement à leur date de péremption.
Une page d'ADRIEN RENKIN à lire dans "La Meuse Verviers" du 9 avril 2021.