L’année 2020 de Bertrand Baguette n’est pas encore terminée. En effet, tout comme l’Aubelois Charles Weerts (qui pilotera une Audi), le Spadois prendra part, le 10 décembre prochain, aux 9 Heures de Kyalami, dernière manche d’un championnat Intercontinental GT Challenge auquel il aurait dû participer cette année si la crise sanitaire n’avait pas bousculé tous les agendas. Concrètement, étant donné que sa priorité réside dans le Super GT, Bertrand Baguette n’a par exemple pas pris aux 24 Heures de Spa-Francorchamps fin octobre, son agenda japonais ne lui permettant pas.
Déjà présent l’année passée à Kyalami, le Spadois, qui aime les épreuves d’endurance, y avait apprécié l’atmosphère. S’il sera au volant d’une Honda, celle-ci n’aura rien à voir avec le bolide qu’il pilote en Super GT, beaucoup plus rapide. S’il en sera à sa première course de l’année dans ce championnat, Bertrand Baguette n’ira toutefois pas en Afrique du Sud pour faire du tourisme, ses deux équipiers ayant encore quelque chose à jouer au classement général du championnat.
Mais avant de songer à 2021, il y a d’abord son retour tant attendu en Belgique, où il n’a plus les pieds depuis le mois de juillet. « Je pends l’avion ce lundi et j’arriverai mardi en début de journée en Belgique. Je suis content de rentrer, il est vrai que cela a été très long. »
De deux article d'OLIVIER DELFINO à lire dans LA MEUSE VERVIERS du 30 novembre 2020