Un article de PIERRE LEJEUNE dans L’AVENIR - LE JOUR VERVIERS du 23 février 2024.
Solidarité
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Premier « repas solidaire »
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Repas solidaire à Aubel
Une information de LA MEUSE VERVIERS du mercredi 21 février 2024
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Invitation à un repas solidaire organisé par et au profit de l'Antenne St-Vincent de Paul d'Aubel
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LES SENIORS ONT DE PLUS EN PLUS DE MAL À PAYER LEUR MAISON DE REPOS
La précarité peut survenir à tous les âges. Il semble que de plus en plus de personnes ont du mal à payer leur maison de repos en région verviétoise. Et elles ne sont pas toujours là où on les attend.
Quand la santé se dégrade et que l’autonomie diminue, pas le choix, il faut aller en maison de repos couler des jours paisibles. Sauf que si l’on a une petite pension, les jours ne sont pas aussi paisibles que ça. Beaucoup ont du mal à assumer tous les frais liés à leur nouveau logis. Ce lundi à Aubel, la présidente du CPAS a fait remarquer qu’il y avait deux fois plus de demandes d’Aubelois à ce sujet que précédemment. Une situation qui interpelle surtout qu’Aubel est plutôt réputée comme étant une commune riche. Ailleurs la situation est relativement similaire. Le problème quel estil ? Dernièrement le prix des tarifs de certaines maisons de repos a sensiblement augmenté.
Ce n’est pas forcément de gaieté de cœur. Le coût de la vie a augmenté, les frais de nourriture, d’énergie et le personnel a augmenté. En plus des différentes indexations, les travailleurs ont parfois eu des revalorisations salariales via l’IFIC, qui classe les fonctions. Or, les différentes indemnisations des gouvernements n’ont pas forcément suivi. Les responsables des maisons de repos n’ont pas 150 choix, ils ne peuvent que demander une plus grande part à leurs résidents. Sauf que les pensions ne suivent pas forcément non plus. « Souvent c’est bien fait, on recalcule la pension en fonction du niveau de dépendance, mais parfois ça ne suit pas toujours », peste Céline Denoël-Hubin, d’Aubel.
C’est très interpellant parce qu’on constate qu’il y a un public précarisé qui ne l’était pas auparavant. « J’ai peur pour les dames qui vivent seules avec un enfant et qui arrivent à la pension alors qu’il est parfois encore aux études et sans être propriétaire. On trouve un public au CPAS qui n’existait pas avant », conclut Céline DenoëlHubin.
D'un article d'ADRIEN RENKIN, Journaliste, dans LA MEUSE VERVIERS du 13 octobre 2023.
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L’ÉTÉ DES CANDIDATES VERVIÉTOISES DE MISS LIÈGE
Lise Evrard, 20 ans, de Theux, et Léna Dupont, 17 ans, d’Aubel, les deux candidates de la région verviétoise en lice pour Miss Liège occupent activement leur été, entre voyages et jobs d’étudiant, avant la finale provinciale prévue mi-septembre.
Un article de L.B. à lire dans LA MEUSE VERVIERS du 7 août 2023.